A l'horizon il y aura toujours du Ciel et Blanc
Un an, un an nom de Zeus que nous sommes privés de stade. Les dieux ne sont décidemment pas cléments…
Alors on va se débrouiller sans eux !
Bien sûr nous suivons les exploits et les déboires du plus grand club de l’univers et de ses alentours par des biais différents. Et pour cela la technologie nous aide : la toile, les chaînes payantes ou le service public (parfois).
Personnellement j’utilise beaucoup la radio et plus particulièrement le réseau France-bleue. Quel bonheur d’entendre les commentateurs locaux jaspiner quand nous gagnons sur leurs terres. Mais quelle tristesse d’ouïr leur liesse dans les situations inverses comme ce fût le cas le week-end dernier.
Soyons beaux joueurs et réjouissons-nous du bonheur de nos amis Burdigalais.
Soyons beaux joueurs, élégants, fair-play ! D’accord, mais nous restons des supporters et nous aurions préféré voir ces mêmes Bordelais être heureux de notre victoire.
On ne va pas refaire l’histoire, dommage.
Demain est un autre jour et nous n’avons pas fini de vibrer pour nos Ciels et Blancs.
Revenons à ces boites vides que sont devenus les stades. Le son artificiel qui nous y est distillé n’y change rien. Sans les supporters, les terrains du Top 14 sont des trous vides. D’ailleurs je me demande parfois à quoi peut bien ressembler un trou plein !
Grâce à Génération Yves du Manoir ce manque a pu être comblé lors de retransmissions dans notre bien-aimé Regent’s Park Pub.
Mais depuis nada, macache, peau de zébie, bernique et toutes ces sortes de choses.
Ce qui est certain c’est que ça ne va pas durer. Chaque jour qui passe nous rapproche un peu plus de la réouverture. L’horizon semble lointain, ce qui n’est pas absurde, mais il est réel, ce qui est rassurant.
Bientôt nous nous retrouverons.
Bientôt ?
Oui, dès que ce sera possible !
Votre bureau y travaille d’arrache-pied (et ça fait mal). Bien entendu nous ne maîtrisons pas les restrictions mais nous réagirons, pour vous, pour nous, dès qu’elles seront levées.
Alors enfin, nous pourrons nous embrasser, au sens propre, une chope à la main et la larme à l’œil, le cœur léger et la panse lourde, en hurlant à plein poumon ce mot mélodieux : RAAAAAAAAAAAACING !
Et pour garder la pêche voici une petite ritournelle de nos cousins canadiens Les Cowboys Fringants, « Tant qu’on aura de l’amour ».
Parce que ça, on n’en manque pas !
Gilles Balsan
Président d'Honneur et Fondateur de Génération Yves du Manoir
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