2022...début merdeux !
C’est le foie lourd, l’estomac pesant, la larme à l’œil et la plume acérée que je reviens vers vous en ce début d’année.
Quel lavement… Quel éternel recommencement ! Le diffuseur (diffus chieur) nous prend toujours pour des cons et certains abonnés ou spectateurs continuent de se croire supporters.
Pour ce qui est de ces derniers, je m’astreints régulièrement à aller consulter certains réseaux sociaux et groupes de vomisseurs.
Je ne me permettrai pas de donner des bonnes notes aux supporters mais je tiens tout de même à rappeler que le soutien à une équipe ne peut pas se manifester par un sarcasme permanent.
Le sarcasme est un trait de méchanceté inacceptable vis-à-vis de ceux que l’on dit aimer, « il n’y a pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour » …
Bien évidemment il ne s’agit d’applaudir béatement à chacune de nos défaites et l’on a bien le droit d’être en colère et de le dire. Mais il ne faut pas oublier que cet état d’esprit n’est jamais un bon conseiller.
Par ailleurs un peu d’humilité ne ferait pas de mal à ceux qui n’ont jamais touché une balle, porté notre jersey ou bien ont découvert le Racing par hasard quand Jacky Lorenzetti a pris les rênes du club.
Je soutiens le Racing depuis le début des années 1970 et je pense avoir connu plus de défaites que de victoires, je n’en tire aucune fierté particulière mais cela permet de relativiser.
Et pour être tout à fait précis je redis avec le grand Georges : « le temps ne fait rien à l’affaire… » et j’accueille avec le même bonheur tous les néo-supporters tant qu’ils ne donnent pas de leçons.
L’autre point qui est venu me titiller les sphincters en ce début d’année est l’attitude, une fois de plus, bassement mercantile de la chaîne de télédiffusion anal.
Déplacer un match vingt-quatre heures avant son coup d’envoi est certainement très agréable pour les marchands de lessives, de bouffe industrielle et de réclames diverses, et souvent avariées, mais quel absolu mépris pour le supporter qui se faisait une joie d’aller au stade, peut-être avant longtemps, en se disant qu’il ne rentrerait pas chez lui au milieu de la nuit.
Vous pouvez le constater je n’ai pas trop changé et je continue de m’irriter aisément, cela fait un point d’ancrage face à un avenir morose.
Une autre constante de mon discours reste, à jamais, mon indéfectible soutien au Ciel et Blanc. Je continuerai sans cesse de le hurler ce qui permet aussi de couvrir les pestilescences de certains.
Gilles Balsan
Président d'Honneur et Fondateur de Génération Yves du Manoir
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