Un bien joli point en trois bandes...
Une victoire, une défaite et LA Victoire.
Du Billard, comme disait Roland.
Trois bandes pour une place parmi les quatre meilleurs (de toute façon la crème de la crème du gratin c’est nous !).
Quel bonheur mes amis de se retrouver dans ce quatuor de tête, même s’il y en a toujours trois de trop.
Hier soir fut un grand moment. Tout d’abord, et bien entendu, parce que nous avons repris possession de notre chez nous à nous : le stade. Je n’étais pas des vôtres mais j’ai partagé votre liesse par le biais des réseaux sociaux.
Tous ces sourires, ces rires, cette joie et cet enchantement. Vous étiez, et moi de même par procuration, comme des enfants impatients découvrant, un nouvel Eldorado.
Merci à vous d’avoir ainsi partagé avec moi.
Merci au Racing d’avoir offert des places aux supporters.
Et bravo à GYDM d’avoir mutualisé ces cadeaux pour faire le plus possible de petits veinards.
Génération Yves du Manoir...Mazette quelle asso !
Une fois de plus je n’ai pas pu voir le match, mais, nom de Zeus, je l’ai vécu...grâce à vous.
Je dois vous dire que la première mi-temps m’a un peu inquiété. Je ne voulais pas voir notre adversaire humilié. Un match est beau, un match est grand, quand deux équipes s’affrontent. La vaillance de l’adversaire fait résonner notre valeur et notre cœur.
Merci donc au Stade Français d’avoir aussi bien réagi en seconde mi-temps.
D’abord cela nous rappelle qu’un match dure 80 minutes et il faudra s’en souvenir, mais surtout par ce que nous avons finalement gagné. C’est vrai ça, en cas de défaite j’aurai certainement été moins courtois.
« A vaincre sans péril on triomphe sans risque » disent les couards. Je préfère l’original « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire ».
Je flânais ce matin sur les différentes revues de presse consacrées au Rugby. Un titre m’a choqué : « La guerre-éclair du Racing ». Tout d’abord, utiliser ce terme au moment du soixantième anniversaire de l’opération Barbarossa et de la shoah par balles qui s’en est suivie n’est pas très futé. Mais rappelons aussi que le Rugby n’est pas la guerre, « le Rugby c’est l’histoire d’un ballon avec des copains autour et quand il n’y a plus de ballon, il reste les copains » disait le grand Jean-Pierre, qui a porté de bien jolies couleurs au cours de sa vie sportive. Il est vrai que, lui, connaît le sport roi.
A propos d’amitié et de connaissance du rugby, entendre les tambours du Virage des Dieux, fut également pour moi, hier soir, une grande source de contentement.
La vie est belle, le Ciel e(s)t Bleu.
Ciel et Blanc, évidemment.
Gilles Balsan
Président d'Honneur et Fondateur de Génération Yves du Manoir
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